La prostitution est une activité qui concerne plus de 40 millions de personnes à travers le monde entier. Néanmoins, ce secteur n’est pas reconnu dans plusieurs pays. Si certains pays l’interdisent complètement, d’autres condamnent les clients alors que d’autres encore choisissent la libéralisation totale de l’activité sexuelle. Qu’en est-il donc de la Suisse ? La réponse ici.
Sommaire
La prostitution en Suisse : que dit la loi ?
La prostitution en Suisse constitue une activité légale. Elle est considérée comme une activité économique génératrice de revenus et est donc autorisée sur l’étendue du territoire. À cet effet, l’État de Genève a voté en 2010, une loi qui soutient cette idée. Cette réglementation stipule que la prostitution doit être reconnue comme une activité légale et soumise à des réglementations.
Ainsi, les péripatéticiennes sont considérées comme des travailleurs indépendants et doivent s’acquitter de leurs impôts et de leurs cotisations sociales comme toute autre personne exerçant une activité autonome.
La prostitution en Suisse : une activité comme tout autre
En Suisse, la prostitution est considérée comme une activité indépendante et respectée. Comme dans d’autres secteurs d’activité, les travailleuses du sexe ont la possibilité de s’inscrire sur des sites spécialisés afin de proposer plus facilement leurs services. Pour trouver les plus belles escorts à Genève, recourir à une plateforme dédiée constitue donc la solution la plus rapide.
D’un autre côté, plusieurs raisons peuvent amener une personne à s’intéresser et à exercer le travail du sexe. Les motifs courants sont donc :
- le besoin de gagner sa vie ;
- le désir de se faire beaucoup d’argent ;
- l’impossibilité de trouver un autre travail ou un emploi plus rémunérateur ;
- le coulissement d’un travail de service dans un bar à la prostitution.
De même, l’expérience de la prostitution n’est pas la même pour toutes les pratiquantes. Si certaines la prennent et la vivent positivement, d’autres s’efforcent de gagner le maximum pour le bien-être de leurs proches et de leurs familles. D’autres encore le font pour gagner suffisamment afin de financer leurs études ou de réaliser leurs rêves.
Pour certaines péripatéticiennes, la prostitution est considérée comme un vrai métier, avec des contrats et des horaires bien définis. Bien que le travail du sexe soit particulier et beaucoup plus lié à l’intimité, à la nuit et au secret, il est semblable à tout autre parcours professionnel en Suisse. Il attire d’ailleurs de plus en plus de femmes d’Europe de l’Est qui s’y rendent pour pratiquer leur activité.
Une activité protégée et réglementée
Comme mentionné plus haut, la prostitution est une activité légalisée en Suisse. À cet effet, les différents États sont libres d’adopter leurs réglementations à ce sujet. Pour mieux encadrer et contrôler le secteur, les cantons de Genève et de Zurich ont adopté diverses lois, alors que d’autres cantons n’imposent aucune loi. Dans ces deux grandes villes, les femmes doivent disposer d’un permis de travail pour pratiquer le métier de la prostitution.
Pour celles travaillant dans des salons (bordels), le propriétaire du lieu doit se charger de les mettre en règle. Cela permet d’assurer la sécurité de ses travailleurs. D’un autre côté, les patrouilles de la police assurent la sécurité de ces femmes et permettent de mieux contrôler le secteur.
Il faut mentionner que le consentement est une notion fondamentale pour pratiquer la prostitution. Enfin, l’âge minimal pour proposer des services sexuels en Suisse est 18 ans.